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jeudi 19 février 2009

Pique nique Février 2009

sur le site de la CIP-idf

Contre la vie chère, nous ne payons pas. Ni Casino, ni Unedic, tout pour tous.

Ce 18 février à 13h, une quarantaine de personne ont envahi le supermarché Casino, 28 rue de Ménilmontant (Paris 20e) et y ont organisé un pique-nique pour exiger le retrait des plaintes portées par le groupe Casino à l’encontre des manifestants qui ont mené en décembre 2008 des action d’autoréduction à Rennes, Grenoble et Paris.

CONTRE LA VIE CHÈRE, NOUS NE PAYONS PAS

NI CASINO, NI UNEDIC,TOUT POUR TOUS

Jeunes, travailleurs précaires et sans boulot, avec ou sans RMI, chômeurs et intermittents, mal logés, nous organisons aujourd’hui ce pique-nique parce que ceux qui dirigent veulent nous faire payer leur crise, tout comme à l’immense majorité des salariés. MAIS NOUS NE PAYERONS PAS.

Il nous faudrait subir l’arrogance des nantis de ce monde qui s’acharnent à dénoncer les assistés, encaisser l’insulte de ces 200 euros versés en avril aux millions de personnes qui dépendront du RSA ; se soumettre à un chantage à l’emploi qui n’a jamais été aussi violent : "la personne au RSA qui refusera deux fois un emploi, on lui coupe tout !" (Sarkozy le 27 janvier à Chateauroux) ? Alors que les banques et les entreprises se font assister à coups de milliards, ce serait à nous de serrer la ceinture ? IMPOSSIBLE.

Vivre dans des taudis et errer sans domicile, accepter des boulots de merde et mendier des miettes de droits, ça suffit ! De nombreux conflits prolongent les grandes manifestations du 29 janvier dernier. La détermination des grévistes guadeloupéens nous met en joie. Des grèves, boite par boite, la mobilisation en cours dans les universités, le montrent elles-aussi : seule l’action collective permet de se défendre, de s’exprimer, d’arracher ce minimum de liberté sans quoi la vie nen est pas une.

Ils ont imposé la flexibilité, qu’ils en paient le prix. Ce n’est pas la richesse qui manque, c’est la politique. Et c’est à nous de la faire. Contre la destruction des droits collectifs par l’individualisation de prétendus mérites, nous avons besoin d’arracher un revenu, pour tou-te-s, avec ou sans emploi, qui permette de vivre et de résister à la précarisation. Sans aucun scrupule, ils ont prétendu que le besoin de logement se réglerait par l’accès au crédit, que la solution était dans l’endettement pour devenir « tous propriétaires ». La crise des subprimes aux États-Unis le prouve, leur modèle débile et injuste s’effondre. Imposons maintenant le libre choix de son emploi et le droit au logement de son choix.

Nous sommes évidemment solidaires des travailleurs exploités dans les grandes surfaces pour des salaires de misère. Parce que pour survivre, nous devons nous aussi fréquemment accepter des heures « complémentaires » quand le chiffre d’affaires des entreprises l’exige. Nous savons que les frontières entre salariés dessinées par nos maîtres sont fausses. Ils nous opposent les uns aux autres, mais parmi la minorité de chômeurs indemnisés, 700 000 personnes sont employées à temps partiel ou par intermittence : intérimaires, CDD ou CDI, les administrations appellent ça des « chômeurs en activité à temps réduit ». Là aussi, ce qui est exploité par les entreprises c’est la disponibilité et le besoin de survivre. Pour nous comme pour beaucoup de ceux qui travaillent ici, la fin du mois c’est presque tous les jours.

Si nous avons choisi d’agir ici, c’est aussi parce que le groupe Casino a porté plainte pour « vol en réunion » à l’encontre de collectifs de précaires qui, en décembre dernier, à Rennes, Grenoble et Paris, ont collectivement récupéré des produits dans ses supermarchés. Les responsables avaient donné leur accord aux manifestants et la police, présente en nombre, n’était pas intervenue. C’est plus tard, pour intimider ceux qui refusent le sort qui leur est fait et prennent en main leurs affaires, que le groupe Casino a décidé de considérer que ce serait du vol.

Nous exigeons que Casino retire ses plaintes et appelons tous les concernés à agir en ce sens.

Ce ne sont ni les succursales de ce groupe qui manquent, ni les moyens d’agir.

Nous en avons assez de survivre avec des minima à 400 euros quand les entreprises du CAC 40 ont versé aux actionnaires 99 milliards de bénéfices en 2008.

Nous en avons assez des promesses non tenues de relogement des familles qui ont occupé en 2007 la rue de la Banque et sont contraintes de dormir à nouveau sur le trottoir.

Nous en avons assez du mépris et de la morgue du pouvoir et du patronat (dont Casino, représenté à l’Unedic), qui cherchent à imposer, avec le concours de la CFDT, une convention d’assurance-chômage qui va exclure plus rapidement des dizaines de milliers de chômeurs.

Ces richesses que nous avons produites, nous nous en réapprorions aujourd’hui avec vous une infime partie.

La suite dépend de chacun et de tous.

La grève en Guadeloupe le dit, c’est une longue manche.

Chômeurs, précaires, intermittents, mal logés en lutte ! 18 février 2009

Avec AC !, Cip-idf, DAL, L’appel et la pioche, Stop précarité

dimanche 15 février 2009

Alternative au 3949

Lu sur Actu>chômage

Le 3949, c'est la galère...
- les rares fois où la plateforme téléphonique fonctionne , il faut attendre, donner son numéro... le conseiller (un sur tout le territoire) ne connait pas votre dossier... le top de la déshumanisation
- c'est payant 0.11 euros d'un fixe, plus d'un portable ou d'une box où l'attente est payante !

Alors au prix d'une communication locale, l'agence en directe c'est plus commode !


Ile-de-France :
A à L
M à P
P à Y

D'autres numéros sur le site de Actu>chômage

Pour les réclamations c'est à adresser à la
direction générale du Pôle Emploi
4 rue de Gallilé
93198 Noisy le Grand

«Chômage Année Noire» : Appel à mobilisations

A noter dans votre agenda militant !

L'AG des Précaires de Paris/IDF et Actuchomage appellent à deux rendez-vous dans les jours et les semaines à venir : Le 18 février à l'occasion du «sommet social» organisé à l'Élysée, et le 19 mars à l'occasion de la journée nationale de mobilisation.

Depuis quelques semaines, les Précaires d'Île-de-France s'organisent en prévision des grands rendez-vous sociaux de ces prochaines semaines. Leur AG réunit AC ! (Agir ensemble contre le chômage), l'APEIS, le MNCP (Mouvement national des chômeurs et précaires), le DAL (Droit au logement), les Marches européennes contre le chômage, Stop Précarité, la CIP (Coordination des intermittents et précaires), l'Appel et la Pioche (un collectif proche du NPA), Actuchomage et quelques autres.

  • L'AG des Précaires appelle à un rassemblement le 18 février à l'occasion du «sommet social» organisé à l'Élysée. Rendez-vous rue de la Banque (métro Bourse), à 12h00, aux côtés du DAL qui poursuit sa lutte en faveur des mal logés (plus d'infos en fin d'article).
  • Pour sa part, Actuchomage renouvellera le 19 mars, à l'occasion de la journée nationale de mobilisation, l'opération initiée le 29 janvier dernier : «Chômage Année Noire» (cliquez sur le lien pour voir les photos du rassemblement parisien. Et lire aussi notre Appel en commentaire).

- Prochaine AG des Précaires (en attente de confirmation) : Le 4 mars vers 18h00 à la Bourse du Travail, 3 rue du Château d'eau (métro République) pour préparer la journée du 19 mars.

lundi 9 février 2009

AG des précaires (II),

Mobilisation des précaires:

=============AG des précaires =========================
Mercredi 11 février à 18H à la Bourse du travail
3 rue du Château d’Eau (M° République)


L'importance des dernières mobilisations : du 29 janvier 2009, aux luttes des mal-logéEs, des précaires pour améliorer leur niveau de vie, des privéEs d'emploi contre les négociations unédic, démontre le rejet grandissant des choix politiques du gouvernement.

Notre colère est légitime !
Face au chômage qui explose, aux licenciements et suppressions d'emploi... exigeons un bouclier social :

Ce n’est pas à nous de payer pour LEUR crise !


Nous poursuivrons la mobilisation !

Prochaines réunions de préparation pour les Etats-Généraux de la précarité (en avril) :

- le mardi 9 février à la Bourse du Travail Château d’Eau

- le samedi 14 février de 14H à 17H à la Maison des Syndicats de Créteil (rue des Archives, M° Créteil Préfecture) dans le cadre des Assises d’AC !

vendredi 6 février 2009

Rassemblement Contre toutes précarités ici et ailleurs, le dimanche 08/02



Rassemblement contre toutes précarités,
le dimanche 8 février, 15h, 24 rue de la banque
M° Bourse
Soutien au DAL

-----------------------------------------------------------------

Ce n’est pas à nous de payer pour LEUR crise !

Chômeur-ses, précaires, salarié-es doivent bénéficier aujourd’hui d’un véritable bouclier social ! Nous exigeons dès à présent :

* l’indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité, intérimaires, intermittents, saisonniers, stages, temps partiels imposés, minima sociaux (RMI, API et revenu minimum garanti du RSA, AAH, ASS…), primo-demandeurs d’emploi et paysans dans la misère, sous la forme d’un statut de vie sociale et professionnelle garantissant le maintien du salaire ou un revenu décent et la continuité des droits sociaux pour tous, et le libre choix de son emploi

* l’interdiction des licenciements dans les entreprises qui font des bénéfices, et un fonds abondé par le patronat pour le maintien du salaire de tous les licencié-e

* le blocage des loyers, l’arrêt des expulsions locatives et la réquisition des logements vides, une construction massive de logements sociaux, le logement décent des SDF, la gratuité des transports en commun et de l’énergie pour tous, la régularisation des sans-papiers

* la suppression du bouclier fiscal et des paradis fiscaux, une politique fiscale redistributive et la taxation du capital et des transactions financières


Nous refusons la mise en œuvre d’un accord UNEDIC défavorable aux chômeurs et précaires !

Nous poursuivrons la mobilisation !


Prochaine AG des précaires le
Mercredi 11 février à 18H à la Bourse du travail 3 rue du Château d’Eau (M° République)

Prochaines réunions de préparation pour les Etats-Généraux de la précarité (en avril) :

- le mardi 9 février à la Bourse du Travail Château d’Eau

- le samedi 14 février de 14H à 17H à la Maison des Syndicats de Créteil (rue des Archives, M° Créteil Préfecture) dans le cadre des Assises d’AC !

Article sur le site de ActuChômage

Paris/IDF : Les Précaires préparent la riposte sociale
Mercredi, 04 Février 2009

Réunis en AG le 3 février, les Précaires de Paris/IDF s’organisent pour préparer la riposte sociale. Rejoignez-les !

Elles et ils étaient une vingtaine, mardi 3 février, réunis en AG à la Bourse du Travail de Paris, pour préparer la riposte des Chômeurs et Précaires. En petit comité, certes, mais très motivés autour des collectifs qui n’ont jamais abandonné le terrain : Les historiques (AC ! – Agir ensemble contre le chômage, l’APEIS, le MNCP – Mouvement national des chômeurs et précaires, le DAL – Droit au logement, les Marches européennes contre le chômage, Stop Précarité…), un «alternatif» : APNÉE/Actuchomage, et une jeune pousse qui fait pas mal parler d’elle : L’Appel et la Pioche, proche du NPA.

Un même constat : La dégradation des conditions de vie de millions de personnes va s’accélérer sous les coups de butoir conjugués de la crise et de la politique anti-sociale du gouvernement Sarkozy/Fillon. Et ces millions de précarisés (Rmistes, chômeurs, intermittents du travail, travailleurs pauvres…) vont être rejoints par les dizaines de milliers de victimes des licenciements massifs annoncés ces derniers mois.

Comment peut-on s'opposer au bulldozer de la précarisation ? Telle est la question posée, tel est le problème qui paraît insoluble, tant les Chômeurs et Précaires doivent se battre seuls, sans moyens et sans soutiens.

Eh bien, à en croire les intervenants, le temps n’est pas à la résignation, au contraire, car la «crise» va bouleverser la donne sociale, donc les rapports de force. Un seul exemple : Qui aurait pu imaginer qu’un jour des chômeurs manifesteraient en nombre… au Japon, première puissance industrielle du monde ? Aujourd’hui, les personnes virées de leur entreprise s’organisent au pays du Soleil levant.

Les collectifs réunis en AG estiment qu’il est grand temps de préparer l’avenir qui ne s’annonce pas rose, tout en amplifiant les luttes en cours. Pour cela, deux décisions ont été prises :

• La première, c’est l’UNITÉ.
Si cela paraît évident, dans les faits, orgas et collectifs de Chômeurs et Précaires travaillent trop souvent en ordre dispersé. Toutes et tous l’ont déploré mardi 3 février ; il est temps d’y remédier ! Et nous, sur Actuchomage, nous adhérons à cette initiative salutaire !

• La seconde, c’est la VISIBILITÉ.
Comme nous le soutenons ici, avant de penser «revendications et propositions», il faut MOBILISER et être VUS. C’est un préalable.

Pour amorcer cette mobilisation, l’AG des Précaires de Paris/IDF fixe un rendez-vous qui sera dorénavant mensuel à la Bourse du Travail. La prochaine se tiendra le 11 février, à 18h00, 3 rue du Château d’Eau, métro République.

Mais pour que cette mobilisation puisse se faire, il faut que chacune et chacun y mette du sien. Il faut que chacune et chacun s’empare du slogan «l’Union fait la Force», se bouge, cherche des infos, s’intéresse à ce qui est entrepris (même si les actions sont symboliques). Il faut enfin que chacune et chacun fasse le choix d’aller vers l’autre, de ne pas rester seul-E dans son coin en se contentant d’échanges virtuels par sites Internet ou emails interposés.

C’est le moment de se bouger pour de bon et de sortir de chez soi !

Plus d’infos :
• Le blog de l’AG des Précaires (créé à la suite de l’AG du 3 février. C'est donc tout récent).

• Une adresse mail pour toutes les questions : agdesprecaires@gmail.fr

• Voir une action «pique-nique» menée par l’Appel et la Pioche.

• Le blog de l’Appel et la Pioche.

==> Les coordonnées d’AC !, de l’APEIS et du MNCP sont disponibles dans notre rubrique «Utiles et indispensables», «Les associations qui vous défendent», en haut de la colonne de gauche.

1ère Assemblée générale Chômeurs-Précaires du 3 février 2009

Le 3 février une 1ère Assemblée générale constituée notamment de membres d’AC !, APEIS, Appel et la Pioche, DAL, MNCP, Marches Européennes, Union syndicale Solidaires s’est tenue.

Elle a fait un bilan à la fois positif et négatif de la manifestation interprofessionnelle du 29 janvier et en a conclu que la visibilité des chômeurs et des précaires dans le mouvement social doit être renforcée.

Elle a évoqué la non signature par 4 syndicats sur 5 de la convention d’assurance-chômage très insatisfaisante, et regretté que 2 syndicats (CFTC et CGC) ne fassent pas jouer leur droit d’opposition, ce qui va permettre au gouvernement de la ratifier avec la seule signature de la CFDT.

Un RDV à ce sujet est fixé jeudi à 12H au Métro Trinité.

Face à l’intensification de la précarité et à l’explosion en cours du chômage, qui détruit toute perspective d’avenir notamment pour la jeunesse et multiplie les difficultés ou impossibilités de vivre, se loger, se soigner…, l’Assemblée générale a décidé :

- la mise en place d’une Coordination chômeurs-précaires-mal logés élargie

- l’organisation régulière d’AG Chômeurs-précaires mal logés tous les seconds mercredis du mois et plus si la situation l’exige

- l’organisation de manifestations publiques communes – sit-in, pique-niques-réquisitions de supermarchés, tintamares… - avec une banderole commune et des points fixes de RDV réguliers

La prochaine de ces actions unitaires aura lieu :

Dimanche 8 février à 15H 24 rue de la Banque (M° Bourse)

La prochaine Assemblée générale aura lieu :

Mercredi 11 février à 18H à la Bourse du travail 3 rue du Château d’Eau

(M° République)

mercredi 4 février 2009

Tract unitaire pour la manifestation du 29 janvier 2009

POUR UNE INDEMNISATION CORRECTE DU CHÔMAGE et des PRÉCARITÉS

TOUS A LA MANIFESTATION DU 29 JANVIER !

La crise du capitalisme entraîne d’ores et déjà des centaines de milliers de licenciements mais aussi de non renouvellements de CDD et d’intérim. Face à cette explosion du chômage, la convention d’assurance-chômage concoctée par le patronat et validée par la seule CFDT - CGT, CFTC, FO et CGC la rejetant - instaure une nouvelle règle « un jour travaillé = un jour indemnisé », à partir de 4 mois te travail, qui diminue fortement les durées d’indemnisation d’une grande partie des chômeurs, même si elle ferait entrer quelques précaires de plus dans l’indemnisation. Par ailleurs, elle programme une baisse semestrielle des cotisations patronales d’assurance-chômage !

Alors que le chômage est déjà très mal indemnisé en France par rapport à d’autres pays, que moins de la moitié des chômeurs inscrits touchent une allocation des Assedic, et pour des montants et des durées plus courts, les chômeur-ses vont devoir faire les frais de la crise et subir la double peine : perdre leur emploi, et basculer dans la misère. Ce n’est pas le RSA – qui favorisera les petits boulots – qui les en sortira !

Or cette crise est précisément due à la compression des salaires favorisée par un chômage important et à l’explosion des profits au cours de ces vingt dernières années, profits non réinvestis qui sont allés nourrir la spéculation.

Ce n’est pas à nous de payer pour LEUR crise !

Chômeur-ses, précaires, salarié-es doivent bénéficier aujourd’hui d’un véritable bouclier social ! Nous exigeons dès à présent :

  • l’indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité, intérimaires, intermittents, saisonniers, stages, temps partiels imposés, minima sociaux (RMI, API et revenu minimum garanti du RSA, AAH, ASS…), primo-demandeurs d’emploi et paysans dans la misère, sous la forme d’un statut de vie sociale et professionnelle garantissant le maintien du salaire ou un revenu décent et la continuité des droits sociaux pour tous, et le libre choix de son emploi

  • l’interdiction des licenciements dans les entreprises qui font des bénéfices, et un fonds abondé par le patronat pour le maintien du salaire de tous les licencié-e

  • le blocage des loyers, l’arrêt des expulsions locatives et la réquisition des logements vides, une construction massive de logements sociaux, le logement décent des SDF, la gratuité des transports en commun et de l’énergie pour tous, la régularisation des sans-papiers

  • la suppression du bouclier fiscal et des paradis fiscaux, une politique fiscale redistributive et la taxation du capital et des transactions financières

Nous refusons la mise en œuvre d’un accord UNEDIC défavorable aux chômeurs et précaires !

Nous poursuivrons la mobilisation avec vous et après le 29, nous vous donnons rendez-vous pour une Assemblée générale sur les suites du 29 le mardi 3 février à 18H à la Bourse du Travail 3 rue du Château d’Eau (M° République).

Nous proposons à toutes les forces syndicales, associatives et politiques d’organiser des Etats-Généraux de la précarité en avril, et les invitons à une réunion de préparation le mardi 9 février à la Bourse du Travail Château d’Eau.

Un Forum de co-élaboration de ces Etats-Généraux est également proposé le samedi 14 février de 14H à 17H à la Maison des Syndicats de Créteil (rue des Archives, M° Créteil Préfecture) dans le cadre des Assises d’AC !

Manifestation pour le relogement des familles de la rue de la Banque soutenues par le DAL dimanche 1er février à 15H, départ 24 rue de la Banque (M° Bourse)

AC !, Actuchômage/APNÉE, APEIS, ATTAC Campus Quartier Latin, Collectif Féministe Ruptures, Collectif National pour les Droits des Femmes, DAL, Droits Devant !, Fondation Copernic, Génération Précaire, Marches Européennes, MNCP, No Vox, SNU-Pôle Emploi-FSU, SNU-TEFI-FSU, Stop Précarité, Union syndicale Solidaires

Avec le soutien de : les Alternatifs, AlterEkolo, Alternative Libertaire, l’Appel et la Pioche, Association des Communistes Unitaires (ACU), Coordination Nationale des Collectifs Unitaires (CNCU), Gauche Cactus, LCR, LO, Zone d’Ecologie Populaire

Qui sommes-nous ?

Plateforme unitaire de lutte contre le chômage et toutes les précarités...